taille : 1m86
poids : 78kg
yeux : gris presque noirs
cheveux : noirs de suie
signes distinctifs : piercings aux oreilles, à la langue et au nombril, nombreuses cicatrices dans les creux de ses bras toujours cachés par ses hauts à manches longues.
J'ai rêvé d'un empire
Où la couronne serait mienne
Où je n'entendrais plus leurs rires
Où ne cesse une pluie diluvienne
Où je serais heureux à en mourir
J'ai rêvé d'un monde où tout irait à mon bon gré, où l'on ne me conterait plus sans cesse mes méfaits (j'aimerais être un héro plutôt que d'être détesté, tu sais) un monde où les coups ne pleuvent plus où je n'ai plus à en donner un monde si
Silencieux
Sans cris pleurs et agonies
À s'en demander si le temps continue de s'écouler
(J'ai rêvé de tout arrêter)
De ne plus tout détruire pour avoir l'ombre d'un regard noir
De ne plus me perdre entre deux pilules deux seringues deux verres tous les soirs
De ne plus être un enfant (à problèmes)
De ne plus être (tout simplement)
J'ai rêvé d'un empire
Où tout ce que j'aime ne viendrait plus à flétrir
(Reviens ne me laisse pas)
Où tous ceux que j'aime cesseraient de me fuir
(Reviens ne me laisse plus)
Où tout ce que je sème ne ferait plus souffrir
(Ne partez pas)
Ne partez plus
(Je me sais si laid)
J'en pleure chaque nuit vois-tu
Et chaque pas que tu prends
Qui nous sépare
Me fais un peu plus appuyer sur la détente
(Je tente de marcher droit mais je n'ai plus la force d'en rire)
Quelle attente
(Quelle douce nuit)
Pour en finir.
J'ai rêvé d'un empire
Que je ne pourrai jamais bâtir
Aujourd'hui déjà je marche dans ses ruines
Sur les traces de nos pas
De cette valse (nocive) qu'on a dansée
Que je ne cesse de ressasser
Quand je devrais la laisser
L'oublier
Comme tu m'as oublié moi
Malgré les traces que je t'ai faites
T'avais raison au fond de partir
L'un de nous aurait fini par en mourir
Et je préfère te savoir dans un autre jardin en train de t'épanouir.
Je ne suis pas un martyr
Je suis au fond, ils ont tous raison, un sale petit con. J'ai fais des conneries qui viennent encore hanter mes nuits, j'essaye de me dire que comme certains refrains me le chantent je devrais partir sur la descente mais j'ai choisi le plus dur
De m'affranchir des murs
Et je vis sans être fier de tout ce mal que j'ai pu faire
Mais je vis, j'essaye de réparer les derniers remparts que j'ai
Pas d'être bon
Mais d'être meilleur
Je me dis que même
Si je fais encore des erreurs
Je peux essayer
Au moins un peu
De ne plus être aussi
D e s t r u c t e u r.
(Et même si nous ne sommes plus,
J'aimerais, je l'avoue,
Que tu viennes me rendre mon coeur.)